« Les prises de parole de l’entrepreneur atypique sont distillées au compte-gouttes (…) Notoirement ochlophobe , il passe le plus clair de son temps sur sa péniche de location. Depuis huit ans, il y vit chichement, « presque comme un nolife », au milieu de ses chats et de ses meubles Ikea. Pour diriger son mini-empire, cinq ordinateurs, disposés dans une salle de contrôle, soit une structure métallique qui lui sert de repaire autant que de trône. De ses 270 salariés, le boss assure connaître tous les noms, même si un bon nombre ne l’ont jamais rencontré. »
JBDV, l’entrepreneur qui intrigue le Web
Le 30/04/2012